fablevis

Les jeux sont faits, j'étais conquis, subjugué,
rien n'y pouvait rien.
Ses yeux me troublaient, m'avaient conquis, subjugués,
ma tête n'était plus ma tête.

JE M'APPROCHE D'ELLE.

Son parfum m'hynoptise, la conquête est complète,
je n'ai plus le contrôle de moi-même, elle le sait

ELLE COLLE SES SEINS SUR MON CORPS.

Je chavire, c'est la tornade.
je place mes lèvres sur les siennes
et ma main droite sur sa fesse gauche
que je caresse, que je flatte.

et pendant que nos langues font connaissance,
je glisse un de mes doigts
ENTRE SES DEUX FESSES.


fablevis  x x x

MA MAÎTRESSE DE FEMME M'AVAIT PLACÉ NU SUR LE BALCON ARRIÈRE.
bien assis sur la chaise longue.
Et elle m'avait dit de ne pas bouger.
Ce que je fis Je suis obéissant.

Arrive soudainement et de nulle part, la voisine.........
grande brune aux yeux pers, ma femme me dit de ne pas bouger.
- salue Clara t'as-tu déjà vu mon beau morceau !
  pas pire hein !
Qu'elle lui dit en signe de bienvenue.

et elles commencèrent à se toucher, à s'embrasser, à se bécotter
à s'enlacer, et finirent par s'allonger sur le sol en se carressant,
devant moi qui ne devait toujours pas bouger.

Ce spectacle d'amour senti me faisait bander
pendant que l'une sur l'autre elle en étaient venues
à se carresser la chatte mutuellement avec leur langue  respective.

L'UNE ET L'AUTRE FINIRENT PAR JOUIR BRUYAMMENT
PENDANT QUE JE FUS RESTREINT
À JUSTE REGARDER
LE CUL DE MA VOISINE


fablevis x  et on ne m'a pas permis de les joindre  x