fablevis

Elle m'avait prévenue le matin avant mon départ pour le bureau. Les marchés financiers ne le montreront pas,
mais aujourd'hui l'uro sera en hausse. Je devais donc revenir tôt cet après-midi là. Ce qui fut fait. Je reviens au
beau milieu de l'après-midi. WOW cinq de ses amies sont là qui m'attendent avec elle, et elles sont en train de
déguster quelques-unes de mes meilleures bouteilles de vin. Je m'invite. Me tire une chaise. Me verse une coupe.

WOW un de mes CHATEAUNEUF DU PAPE. Elle me dit de le déguster parce que ce serait mon dernier aujourd'hui . Et ce fut effectivement mon dernier. Les bouteilles se vidaient mais chacune en avait une autre à
remplir. OUF j'ai compris ce qui m'attendait quand je compris qu'elles étaient toutes là depuis midi. et on jase, et
on jase, Bon voilà ta dégustation commence mon chéri, qu'elle me dit..
Elle me tend sa bouteille presque pleine, et ses amies de dire : " il ne boira pas tout ça ! " - " mais si, mais si . "
Et je calai la bouteille qu'elle m'avait si gracieusement donnée...Et les autres riaient comme de petites folles.

CE QUE JE SAVAIS PAS , c'est que ma bien-aimée leur avait dit que je boirais toutes celles qu'on me dirait de boire.  oh oui ! l'uro est en hausse mais ce n'est pas celui que je croyais ce matin en partant..

J'étais arrivé à quinze heures et à vingt-trois heures je terminais ma sixième bouteille aux applaudissements de
toutes. Il faut dire que j'avais eu droit à une tranche de pain entre chaque bouteille.

Délicieux du pain et de l'uro..................

FABLEVIS   X X X    MIUM..........MIUM...............

Elle prend son sein gauche dans sa main droite et le sort de l'étreinte de sa brassière.
.........son sein prend l'air......ouf ce qu'il a l'air ferme.........le bout se pointe vers moi......
=  tiens ,  prends-le dans ta bouche , dévore-moi ça , qu'elle me dit...

Sans hésiter j'approche ma bouche ,  je commence par le bout qui depuis tantôt,
me faisait des gardes à vous éloquents ,  et puis je le prends dans mes mains,,
et je le bouscule un peu beaucoup avec ma langue . Il se pointe encore plus......

Et là je gloutonne ,  je lèche ,  je suce ,  toujours plus avidement ,
cette merveille du monde que m'offre la vue de ce sein entre mes mains.
Ah oui !  ah oui !  je le dévore ,  je le mord et le remord, je succionne ..
et puis soudainement elle le reprend et le remet dans sa brassière.

Le lunch est terminé.
Elle retourne à son bureau.
Je me dirige vers le mien.
en pensant à son sein.

FABLEVIS   X X X

J'ai besoin de repos, je suis vanné, la journée a été drôlement dure.
Je n'arrête même pas prendre l'apéro avec les amis..........
Je rentre directement chez-moi....J'ouvre la porte,
j'échappe mes clefs, je me penche, je les ramasse.

Je ferme la porte derrière moi. Je relève la tête..
Elle est là, ma maîtresse m'attend,
menottes dans ses mains, elle me dit :
- tu dois être fatigué, j'ai une belle surprise pour toi..
- je VOIS  à ton air que tu es vraiment surpris.
- et bien sois-le , tu le seras doublement
- dans quelques minutes, quand Johanne arrivera..

Je reste bouche bée, Johanne, c'est sa soeur,
la soeur de ma maîtresse, une vraie petite tanante.
Ma maîtresse m'enlève mon veston, ma chemise,
mais me laisse ma cravate, puis enlève la ceinture
de mon pantalon qui glisse sur mes pieds.

et voilà, je suis nu, et comme elle dit souvent,
après m'avoir déshabillé,
- bon maintenant mes visiteurs peuvent arriver.
Elle me prend par la cravate et me tire sous le porche de la porte.
- Lève tes deux bras par-dessus ta tête
qu'elle me dit avec un petit rire narquois.
Elle me passe les menottes aux poignets,
et les accrochent aux oeillets métalliques,
en haut du porche de la porte..,
puis m'écarte les jambes, me passent les autres paires,
aux chevilles qu'elle accroche au bas aux oeillets,
qui se trouvent de chaque côté du porche de la porte.

Me voilà en position du parfait repos, 
sauf si quelqu'un veut se rendre à la salle des toilettes..
Sa soeur entre sans frapper et s'exclame d'une voix forte :
- oh ! on va avoir du fun icitte à soir
- oui tu en peux être sur de ça  ma petite soeur !

Elles sortentdes choses d'une valise que Johanne
avait pris soin d'amener de chez elle, .
On me bande les yeux.............
on m'enfonce un manche quelconque dans l'anus..........
et elles se mettent à me frapper avec une canne
pour une, et avec un fouet pour l'autre..........

- Prendrais-tu une bonne bière Johanne ?
et elles se mettent à jaser de tout et de rien.
Le temps passe...........
- prendrais-tu une autre bière Johanne ?
Et elles prennentune deuxième bière...........
et puis une troisième........
et une quatrième.............
- oups il faudrait que j'aille uriner, dit Johanne..
Alors elle me passe entre les deux jambes,
frappe mon pénis, relève la tête, le mord un peu...
et se prépare à uriner
-johanne rempli la bassine, fab aura soif tantôt.

Et pendant que sa soeur urine,
ma maîtresse me passe un lacet autour du pénis...
et , la boisson aidant elles se remettent
à me frapper de plus en plus fort,
ce qui me rend fou de chaleur et de joie,
j'en tremble de bonheur, incroyablement bon...

L'urine de Johanne est placé dans une bouteille
dont l'embout est  pourvu d'un biberon
Ma maîtresse me place le biberon dans la bouche
- tiens mon bel esclave, bois, bois, allez gêne-toi pas......

Chacune me détache une main du porche de la porte,
et me tire à plat ventre et  elles bouclent les menottes
qui sont sur mes poignets ensembles ..
elles jouent avec le manche de je ne sais quoi,
qui se trouve dans mon cul,
gauche,droite,sort un peu,le renfonce,
puis encore gauche,puis encore droite...
Johanne met ses pieds dans mon visage,
en me relevant le front,et ma maîtresse me dit :
- allez mon fab lèche-lui les orteils comme il faut,,
- et entre chacun des orteils,et, pour les deux pieds,,
- allez, allez, lèche, lèche, comme tu en es capable...

et pendant que je lèche ma maîtresse s'occupe,
elle s'occupe de mes fesses, les deux fesses,
qu'elle fouette généreusement,
sans ménagement, ouch ! que c'est bon
la douleur me fait sortir un petit cri..
ce que ma maîtresse n'apprécie jamais,,
Elle prend la bouteille et avec le biberon
soulève le bandeau toujours sur mes yeux....
Maintenant je les vois, et je continue à caresser
les pieds de Johanne qui semble vraiment
trouver cette caresse de son goût.

Ma maîtresse prend alors le biberon et s'empalle
puis après quelques minutes le sort de son cul,
m'arrête de lècher les pieds de Johanne,
et me place le biberon dans la bouche
- allez bois fab, c'est peut-être ton dernier ce soir.

je bois tout le champagne de Johanne
qui restait dans la bouteille  de 1,5 litre.
Elle enlève le biberon de la bouteille,
et ma maîtresse s'affaire à la remplir,
wow un vrai jet à pression, puis
remet le biberon sur l'embout de la bouteille
- et bien fab tu en auras d'autre avant de te coucher.

ouf il était temps, 
on m'enlève ce que j'avais dans le cul.
et on me montre le manche à balai
avec lequel on m'avait enculé.
Je n'en crois pas mes yeux,
et pour que je le crois elle me demande
de lècher la partie qui était visser dans mon cul..

ma maîtresse demande à Johanne de m'enculer,
avec les doigts qu'elle veut bien..
et m'entre successivement
un puis deux, puis trois,
et finalement toute sa petite main droite
qu'elle fait virevolter dans mon anus..
je suis près à venir et à jouir..
Mais je ne peux pas avec le lacet
qui empêche les liquides de passer.

Johanne demande à sa soeur si je peux boire
directement à la source
- Ah ! oui, et il aime beaucoup ça..
Ma maîtresse soulève ma tête avec la cravate,
et Johanne m'inonde de son champagne
que j'essaie du mieux de boire,
mais ça coule sur le plancher.
- ne t'inquiète pas Johanne
- il va tout lècher avant de se coucher

Il commencait à se faire tard,
les deux soeurs se dirent bonsoir
et Johanne rentre chez-elle.

Ma maîtresse me décroche les pieds
de chaque côté de la porte,
et me demande de bien essuyer
le plancher avec ma langue
Ce que je fis....
elle m'empoigna par la cravate,
me fit coucher au pied de son lit,
elle boucle ensemble les menottes
qui sont à chacune de mes chevilles..

elle dé-.tache alors le lacet encerclant ma bitte
en me recommandant de ne rien laisser
couler sur le plancher.....

j'ai donc passé la nuit à essuyer mes dégats,
mais j'étais content.
Je pouvais dormir toute la nuit
près de ma maîtresse, au pied de son lit...


fablevis  x x x